LA DEMOCRATIE PARTICIPATIVE AU NIVEAU COMMUNAL : c’est faire en sorte que chacun puisse prendre part activement à l’organisation de la vie communale.

Pour atteindre cet objectif fondamental, deux mots-clefs reflètent le travail qu’Écolo Hamois souhaite mener : INFORMATION ET PARTICIPATION.

INFORMATION – Pour que chaque citoyen soit informé, de façon claire et objective, sur ce qui se passe dans sa commune, Écolo souhaite un renforcement du rôle du Bulletin communal, afin d’en faire un véritable journal d’information. Il souhaite aussi voir le site internet de la Commune  régulièrement mis à jour et riche en informations diverses, et c’est en bonne voie !

PARTICIPATION – le groupe Écolo souhaite que soit valorisées les compétences de chaque Commission consultative. Et par ailleurs, il s’emploiera à stimuler la participation des citoyens à débattre sur les sujets et/ou les choix politiques importants à mener par la Commune. Ecolo Hamois stimulera la création de lieux d’échanges privilégiés entre les élus et les citoyens. et veillera à ce que les opinions émises par ceux-ci soient entendues.

Les bases seront donc disponibles pour mener à bien les politiques qui :

  • consolideront la CONVIVIALITE, le BIEN-ETRE, le DYNAMISME ASSOCIATIF et le DYNAMISME D’ENTREPRISES ;
  • préserveront et amélioreront notre CADRE DE VIE en rencontrant les DEFIS DU FUTUR ;
  • s’envisageront dans un esprit de DEVELOPPEMENT DURABLE, visant à la gestion rationnelle des ressources humaines, naturelles et économiques dans le respect des générations futures.

« On peut définir la démocratie participative comme le renforcement de la participation des citoyens à la prise de décision, au-delà de la participation aux élections, via des procédures institutionnalisées par le politique pour ce faire. Le niveau local est caractérisé par son volontarisme participatif : de nombreuses villes dans le monde sont à la pointe de l’innovation en la matière et proposent, en outre, des expériences aux méthodologies très diversifiées. Pensons aux multiples expériences de budgets participatifs, de panels de citoyens tirés au sort (comme le G100 en Belgique), de plateformes de participation en ligne, de formes de droit de pétitions ou de commissions de consultation, etc. » BULLETIN COMMUNAL n°924 de janvier 2018 – LUDIVINE DAMAY, Chargée de cours en sociologie, Faculté d’Architecture La Cambre Horta, ULB – CHLOÉ MERCENIER, Chercheure, Faculté d’Architecture La Cambre Horta, ULB

 

Pour plus d’informations, voir ci-joint, le « Vade-mecum de la Démocratie participative à destination des pouvoirs locaux » établi par la Région wallonne :

RW – Vademecum – Démocratie participative – Pouvoirs locaux